Et bien voilà le hic…
Une première collection mais bon sang on est fébrile, heureux, joyeux !
Et là voici la photo que j’ai dans le dossier presse….
Pourtant il y a un sacré potentiel, quand on a un tel don on devrait être heureux, quand on peut faire un défilé en pleine crise économique, c’est un bonheur sans pareil…
Quand on peut faire de si belles choses, de si belles créations, c’est la joie qui doit découler…Enfin cela me semble logique, mais certainement mon coté provinciale qui doit pas comprendre…
Et là tout est tendu et tout le monde fait la tête, j’en ai oublié les vêtements…
Et puis j’ai fait abstraction pour ne regarder que les coupes, je n’ai pas sélectionné certaines robes car leur transparence m’ont semblé prendre le partie de la facilité, je n’ai pas trouvé que cela servait le talent de Monsieur Josse.
En revanche il y a dans le style de certaines robes « un je ne sais quoi » de non aboutit qui me donne l’envie furieuse de les acheter pour y ajouter ma touche personnelle, comme si elles n’attendaient que moi pour être finalisées, en fait j’ai eu ce sentiment avec presque tous les modèles que je vous mets dans l’article.
C’est comme si j’avais passé commande du vêtement et demandé à la fin un ajout de tissus, de bijoux.
L’élégance des coupes sans être d’une sobriété monacale permet de s’approprier le travail du créateur sans en devenir sa créature.
Ses robes m’enchantent, ses tailleurs me donnent l’envie de les garder longtemps et son manteau a le chic des manteaux militaires avec un ornement tout féminin.
Sa robe en plumes est un rêve de petite fille qui entendait Zizi Jeanmaire et son truc en plumes. je l’ai mise en fond d’écran…
Alors Monsieur Josse tracez un beau sourire pour votre prochain final, vous avez l’étoffe d’un grand
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